Il faut pénétrer sur la pointe des pieds. Accepter le sensible. S’y risquer. Benoit Cancoin est de ces contrebassistes qui n’en finissent pas d’interroger l’instrument. Un laborantin du sensible pour être plus précis. Ici, il improvise en solo quatre pièces dans l’antre de quelques essentiels amis. Que ce soit pour un baptême sonore ou dans l’atelier d’un ami luthier, Benoit Cancoin frotte, s’efface, éveille ou saigne la corde, duplique les axes, craquelle, strie, scie, crisse, pleure, écartèle, martyrise, grogne, hèle, offre. Rien d’autre – et cela est déjà beaucoup – qu’un feuilleton du tendre et du sensible entremêlés. Pas mal (euphémisme doux !) pour un premier solo. Luc Bouquet,le son du grizzli
Xavier Mussat a consacré une première vie à la bande dessinée sous un angle expérimental et autobiographique. La nécessité de pratiquer un art vivant, inventif dans un « temps réel » l’a amené a développer une pratique de la guitare amplifiée improvisée.
Il contourne l’usage traditionnel de la guitare par une recherche de textures bruitistes, la construction de fils sonores, drones chancelants par superpositions de matières. Il participe à plusieurs projets collectifs (orchestre Electron, trio UGUT avec Basile Naudet et Augustin Bette , duo Corps/Bruits avec Aurélie Denis, lectures sonores avec Hélène Gaudy…) et se produit parfois en solo. Il est également fondateur du label APOCOPE (textes, dessins, musiques).
Compositeur et interprète de musique
contemporaine et improvisée, Franz Hautzinger a étudié la
trompette et la composition à l'Académie de musique et d'art
dramatique de Graz et au Conservatoire de Vienne.
Depuis 1989, il enseigne la direction
d'ensemble, la composition et l'arrangement à l'Université de
Musique et des Arts de Vienne. Il est souvent invité en tant que
soliste par de nombreux ensembles et partenaire d'artistes de renommée
internationale (y compris Elliott Sharp, Gil Evans, Ensemble
Zeitkratzer Berlin, John Cale, Christian Fennesz, Yoshihide Otomo,
Phil Niblock, Klaus Ohring, Radu Malfatti, Christian Wolf, Joachim
Kühn, Derek Bailey , Keiji Haino, John Tilbury, Klangforum de
Vienne) et leader de ses propres projets ( "Franz Hautzinger
Speakers Corner", "couvert Musique", "Regenorchester"
Gomberg).
De nombreux voyages d'études et
tournées de concerts l'ont amené en Inde, aux Etats-Unis, en
Russie, au Mexique, Népal, Europe, Estonie, Mongolie et au Zimbawe.
Franz a reçu de nombreuses bourses et
prix et commandes pour divers ensembles, du théâtre, de spectacles
musicaux et, eu divers programmes de solo.
Vit et travaille à Paris. Il s’intéresse essentiellement aux différentes formes de musique improvisées, travaillant au sein de différentes formations allant du solo au grand ensemble (Die Hochstapler, Actuum, HiFi Lo-Noise, Umlaut Big Band, ONCEIM etc.) ; développe une approche intuitive et spontanée de la musique, tout en inventant un langage personnel et original sur son instrument.
Après une formation classique d’altiste, Cyprien Busolini s’engage dans les musiques improvisées où il y trouve un plus grand terrain d’expérimentation et d’expression à la fois musicale et instrumentale. Son travail tourne particulièrement autour de la production de « sons-bruits » ou « multiples » avec une approche plus organique de l’archet sur la corde. Il joue entre autres en duo avec Frantz Loriot (viola two viola), en duo avec Sébastien Branche ainsi que dans l’orchestre Onceim et l’ensemble Dédalus.
Philippe Lemoine joue et enregistre avec des ensembles collaboratifs, comme le trio ‘Le Maigre feu de La nonne en Hiver’ ou le quartet ‘Philadelphie’. Il expérimente avec des improvisateurs, en France avec Olivier Lété, Samuel Silvant, Philippe Deschepper, Guillaume Séguron, Thierry Daudé, Julien Chamla, Benjamin Duboc, à Berlin avec Yorgos Dimitriadis, Emilio Gordoa, Klaus Kürvers, Hilary Jeffrey, Samuel Hall, Brianne Curran, Nicola Hein, Eric Wong, Rieko Okuda, Antti Virtaranta,et à Madrid avec «Via Lucis trio», impliquant Samuel Hall, J.G. Entonado et Luca Bembrilla.Philippe Lemoine a dirigé le septet ‘Kassalit’ qui a remporté les premiers prix d’orchestre et de composition au concours international de jazz à la Défense en 1997. De 2002 à 2005, il était soliste à l’Orchestre National de Jazz sous la direction de Claude Barthélemy. Il a également participé aux collectifs «Circum Grand Orchestra» à Lille et «à Plusieurs» à Argenteuil, et dirigé et composé pour le quartet «Le Talent de La Colère». Currently, Philippe Lemoine plays and records with collaborative bands like the trio ‘Le Maigre feu de La nonne en Hiver’, or the quartet ‘Philadelphie’, and experiment with improvisers, in France with Olivier Lété, Samuel Silvant, Philippe Deschepper, Guillaume Séguron, Thierry Daudé, Julien Chamla, Benjamin Duboc, in Berlin with Yorgos Dimitriadis, Emilio Gordoa, Klaus Kürvers, Hilary Jeffrey, Samuel Hall, Brianne Curran, Nicola Hein, Eric Wong, Rieko Okuda, Antti Virtaranta, and in Madrid with «Via Lucis trio», involving Samuel Hall, J.G. Entonado et Luca Bembrilla.He was the leader of septet ‘Kassalit,’ which was awarded ‘best band’ and ‘best composition’ at La Défense Jazz Contest in 1997. From 2002 until 2005 he performed and toured internationally with the Orchestre National de Jazz under the direction of Claude Barthelemy. Playing a role in the underground arts scene in Europe, Lemoine has also been involved with numerous other collectives and collaborative bands in his home country, such as Circum Grand Orchestra, in Lille or “à plusieurs” in Argenteuil, and leaded and composed for his own quartet «Le Talent de La Colère».He is often found travelling to meet improvisers all over the world – Berlin, Chicago, Montreal, Madrid.
Né en 1979, Nicolas Souchal est un trompettiste français, actif dans le jazz contemporain et les musiques improvisées. Il est reconnu pour son sens de la construction dans l’improvisation, sa sonorité expressive, et son jeu incluant les techniques étendues de l’instrument. Sa démarche emprunte à des musiciens comme Don Cherry, Jean-Luc Cappozzo, Axel Dörner, ou encore Daunik Lazro.
En 1997 à Clermont-Ferrand, il est membre fondateur du Collectif Musique en Friche, bouillonnant creuset d’expérimentations, proche de l’ARFI (Association à la Recherche d’un Folklore Imaginaire). Il y développe deux duos de vents, l’un avec Franck Pilandon, l’autre avec Christiane Bopp, et plus récemment le quartet Les arbres ont bougé pendant la nuit, musique improvisée instrumentale et diffusion de sons.
Depuis 2000, compositeur et arrangeur au sein de la fanfare Balkan Brass Band, ainsi que du quartet jazz néo-babylonien Humbaba, il s’approprie et recompose les musiques traditionnelles d’Europe de l’Est.
Depuis 2010, on peut l’entendre dans différentes formations de la scène parisienne : Pavillon Rouge (Jean-Luc Cappozzo, Matthias Mahler, Jean-Marc Foussat), ARBF & les Hmadcha d’Essaouira (rencontre entre big band free jazz et musiciens soufis marocains, direction Yoram Rosilio), Quintet Cuir (musique improvisée épidermique, avec Jean-Brice Godet, John Cuny, Yoram Rosilio, Jérôme Fouquet)
Alessandra Giura Longo, flûtiste et vocaliste, est adepte du nomadisme de l’âme, de la vie et des musiques. Classique-contemporaine-experimentale- popular-traditionelle, instrumentale ou vocale, avec sa robe d’interprète ou celle d’improvisatrice, de musicienne ou de professeur, elle traverse diffèrentes chemins avec le même regard et le même sourire.
Sa compréhension et son amour pour la musique l'amènent, au gré de son parcours, à choisir et à rencontrer les Maîtres M. Eckstein, M. Lomuto, H. Schellenberger, A. Nicolet, V. Globokar, G. Aperghis. Mais aussi la musique de Stravinsky, Chopin, Luciano Berio, Bach, Ravel, les opéras de Mozart et la musique de chambre de Brahms, Satie ainsi que le jazz, la polyphonie du seizième siècle et la littérature européenne du vingtième, la poésie d'Emily Dickinson et encore les impressionnistes, le chant, l'improvisation, le théâtre, la rue, le vol des oiseaux, le silence et l'océan Atlantique.
Elle s'est produite comme soliste et dans nombreux ensembles du duo au octet avec un répertoire du Moyen Âge à nos jours, tout en privilégiant l'interprétation la musique du XXème et XXIème siécles.
Sandra a enregistré pour la RAI 3, A-RTP (télévision portugaise) et le label OWL Records.
Depuis 1988, elle crée et joue des spectacles de théâtre et musique, en solo ou en collaboration avec d'autres artistes (Candace Smith, Michele Lomuto, Alessandro Olla, Silvia Corda, Adriano Orrù, Françoise Rivalland, Deborah Walker, les danseuses Francesca Massa, Carla Onni, le compositeur Tom Johnson et le Dedalus Ensemble, la CIE Grand Magasin). Depuis 1996 elle improvise: elle a fondé avec d'autres musiciens portugaises le "RubbattoMobileEnsemble" et le duo Giro-Pirouette, groupes de théâtre musical et musiques improvisées qui participent au Tournoi de Musiques Improvisée de Poitiers plusieres fois) ; elle colabore régulièrment avec Angelo Tripodo, Giovanna La Maestra et l’Ensemble de musiciens handicapés Suono e Ritmo de Messina (Italie) ; elle a improvisé aussi, parmi les autres, avec Paolo Fresu, Eduardo Sérgio, Alessandro Olla, Jean-Marc Montéra et le Medi-trio, Gianna De Toni, Jõao Macedo...
Elle a travaillé et travaille dans divers spectacles de théâtre en tant que musicienne, comédienne et parolière.
La voix semble être l'un des sons que
nous avons tous entendu en premier : la voix quotidienne qui exprime,
qui commente, qui parle, qui bavarde et qui hurle parfois puis la
voix qui chante ou chantonne. La voix semble prépondérante dans ce
que nous souhaitons ou sommes capables d'entendre du fait qu'elle
véhicule des informations à comprendre, qu'elle semble
indissociable du langage et de la langue. A force d'entendre notre
langue maternelle, nous réduisons sans doute notre curiosité à
entendre au delà du message à traiter pour découvrir la matière
même de la voix, sa texture, ses inflexions, ses articulations, sa
couleur, etc.
Pourtant, le fait qu'il y ait tant de
langues sur Terre devrait nous mettre la puce à l'oreille sur les
possibilités sonores extraordinaires dont la voix est capable, sans
oublier les jeux vocaux dans certaines traditions où elle est un
instrument dont les prouesses ne cessent de nous étonner.
Écouter Isabelle Duthoit, c'est faire
l'expérience d'une voix qui ne dit rien mais qui actualise des
sensations premières liées au son, à l'intimité du son et que
l'on perçoit bien plus par notre peau que par nos oreilles. Oublions
la mélopée et la ritournelle, oublions le bel canto et retrouvons
la vérité singulière du souffle, du bruissement, du chuchotement
et du cri qui nous invitent à une exploration musicale bien plus
minérale qu'aérienne. Isabelle Duthoit, clarinettiste de formation,
a d'abord développé son art vocal en autodidacte, avant d'étudier
ceux du théâtre japonais Nô et Bunraku à Kyoto. C'est peu de dire
qu'elle en puise une émouvante intensité. Lê Quan Ninh
Yaping Wang est originaire de Taipei, à
Taïwan et a commencé le piano à 5 ans et le Yangqin (揚琴)
à 9 ans. À l'âge de 15 ans, elle entre au Conservatoire National
d'Art de Taiwan(國立藝專) et
reçoit son diplôme de fin d’études en 2002. Cinq ans plus tard,
elle passe avec succès son Master de composition à l'Université
new yorkaise de Buffalo et donne par la suite des conférences au
Departement de Musique à l'université de culture chinoise.
En 2013 et 2014, elle reçoit une
bourse de résidente du ministère de la Culture de Taïwan pour la
Cité Internationale des Arts de Paris. En 2015, elle est invitée
pour jouer à la fête Nationale de Taïwan à Paris.
La musique de Yaping Wang est une
fusion des esthétiques contemporaines et traditionnelles. Elle a
composé pour le théâtre, certains médias et documentaires ainsi
que pour de nombreux projets expérimentaux. En 2012, elle réalise
sa première pièce de théâtre musical "Parodie" au
Théâtre National Hall de Taiwan.
Yaping Wang a commencé sa
carrière professionnelle à l’age de 17 ans en 1995, en se
produisant dans de nombreux banquets d’Etat à Taïwan. Ensuite,
elle entamera très vite une carrière internationale et jouera dans
des endroits prestigieux tels la Buffalo Albright Knox Art Gallery,
la Cité internationale des Arts de Paris ou encore le MOMA de New
York et le Jewish Festival. à Taiwan, elle sera invitée à se
produire avec de nombreux orchestres professionnels: le National
Tapei orchestra , le BCC Chinese orchestra, le Taipei artist chorus,
le Classic Chinese ensemble, le Major C ensemble et le Grass-Mountain
Folk Orchestra. Elle a représenté le ministère de la Culture de
Taiwan aux Etats-Unis et fût demandée comme porte-parole par la
Fondation de Taiwan pour les maladies orphelines. Entre 2000 et 2001,
elle occupe le poste de soliste et joue ses propres arrangements de
musique traditionnelle, dans une émission quotidienne consacrée au
yangqin sur BlTV chanel. En Octobre 2013, sa musique est analysée
et discutée pendant le congrès de la Cimbalom World
Association.
Déjà, très jeunes, Yaping Wang remporta de
nombreuses récompenses. En 1997, elle reçu l’Excellent Yangqin
Prize de la Chinese Music Association de Taiwan L'année
suivante elle remporta, avec cet instrument, le prix du concerto au
Taiwan National Art Conservatory. Sa pièce vocale "Ikkaku
Sennin" inspiré par le Théâtre Nô japonais et le Conte de
Fée indien, est nominée "pièce vocale de l’année" en
2009 par the International Society for Contemporary Music de Taiwan.
En 2012 elle obtient le "Young Star New Vision Award" de
la National Culture Fondation de Taïwan et cette même année son
album "Traveller" fût nominé meilleur album de musique
traditionnelle aux Golden Melody Award
Angharad Davies est une violoniste, à
la fois à l'aise dans l'improvisation et la composition, elle a une
large discographie dans le cadre d'ensembles et de groupes variés.
En 2015, elle crée le solo de violon, Occam XXI d' Eliane Radigue au
Mexique dans le cadre du festival Nicho. En 2016, elle aura une
commande du CSLP pour une création avec Laura Cannell qui se conclura
par une tournée au delà des frontières du Royaume-Uni.
Dominic Lash (contrebasse) a joué avec
des musiciens tels que Tony Conrad, Joe Morris, Evan Parker et
dernierement avec Steve Reid. Ses principaux projets comprennent Le
Dominic Lash Quartet, The set ensemble et de nombreuses
formations de musiciens improvisateurs tels que Angharad Davies,
Alex Ward et Mark Wastell. Depuis 2015, il gère le netlabel "spoonhunt" pour certains de ses travaux.
il travaille le violon dès ces 8 ans avec
Peter Heil au Peter Cornelius Konservatorium Mainz. A l'age de 12 ans
,il devient élève de composition de Erwin Amend qui lui était
élève de Paul Hindemith.
A 17 ans il quitte L'Allemagne,
s'installe à Paris pour jouer avec le saxophoniste, compositeur et
peintre hongrois Yochk'o Seffer (Rock Progressif) ; paralellement il
prend des cours avec Maryvonne Le Dizès (Ensemble
Intercontemporain). Ensuite il collabore avec de nombreux musiciens
et groupes tel que Art Zoyd, Siegfried Kessler, David Liebman,
Angélique Ionatos, Jean-Marie Machado, NOHC de Didier Petit, Pablo
Cueco, Michel Doneda, Daunik Lazro, Claude Tchamitchian, Sophie
Agnel, Ramon Lopez, Cesar Stroscio, Orient Express Mouving Shnorer,
Michael Riessler, Jérome Noetinger, Hélène Breschand, ...
Presse
« Michael Nick est un de ces
musiciens talentueux, originaux et ...inclassables. Compositeur de
musique contemporaine, instrumentiste et soliste >classique<,
violoniste Hors normes au jeu à la fois flottant et rigoureux,
évanescent et puissant ... » Pierre-Henri Ardonceau, Jazz Magazine
« ...Son style plonge ses racines dans
un monde musical qui historiquement et géographiquement évolue
entre Bartok et ses inspirateurs tziganes, Pendercki, Ligeti et
l’inframonde de la musique contemporaine. » Jean-Marc Balleux,
Rock& Folk
« ...Une énergie sous-jacente,
retenue, qui affleure la trame mélodique, crée une tension comme
une vigilance inaccoutumée chez l’auditeur. » Michel Thion
« La musique de Michael, impossible à
classer, comprend des éléments de la musique classique, des
musiques ethniques, des marches et du jazz - le tout fondu en une
déclaration passionnée »... ainsi s’exprime le grand
saxophoniste de jazz Dave Liebman lorsqu’il évoque le violoniste
Michael Nick. »
Diemo
Schwarz joue une électronique riche en timbres et textures,
explorant différentes collections de sons à l'aide de contrôleurs
gestuels, rendant ainsi l’expressivité et physicalité à la
performance avec l'instrument numérique. Son utilisation de la
synthèse concaténative recompose l'espace des sons et interroge
leurs qualités intrinsèques, en les libérant de leur contextes
habituels, révélant des richesses insoupçonnés
Diemo
Schwarz est musicien de musique improvisé, compose pour
installations et danse, et est chercheur et développeur à l'Ircam.
Il est membre de l'ONCEIM et joue avec Fréderic Blondy, Fred
Marty, Hans Leeuw, Emmanuelle Gibello et collabore avec des artistes
comme Franck Leibovici, Sylvie Fleury, Cecile Babiole.
"Pas de projet, pas de ligne, pas de direction ... Émettre & modifier Geste & non geste Écouter ni ne pas écouter S'en tenir à la position Lâcher toute position Attendre & espérer ..."
né
à Sens en 1947 est un musicien décidément et totalement
inclassable.
Il
commence par des études d'accordéon classique vers sa dixième
année, passera de nombreux concours (coupe d'Europe 1965) et finira
par obliquer vers le Jazz puis le free Jazz ds les années 68/70 ...
Il
rencontre et joue avec Don Cherry à Châteauvallon en 1972
Il
travaille avec des plasticiens (Biagio Pancino) des poètes et des
musiciens
Joue
dans de nombreux festivals, ainsi qu'au musée d'Art Moderne (Arc 2)
Participe
activement au mythique "Sens music meeting"
Devient
danseur et réalise de multiples performances libres avec des amis
plasticiens dans des galeries, au saxophone ténor ...
Il
travaille dans la classe d'électroacoustique de Nanterre et
collabore avec le GRM
Il
rencontre masaki Iwana en 1995 et devient danseur Buto sous son
influence ...
Une
collaboration commence avec la danse Buto (Masaki Iwana, Atsushi
Takenutchi, Toru Iwashita ..)
Fonde
un grand ensemble (Claude Parle Large ensemble) improvisé, basé sur
les micro tonalités et les micro clusters
Nombreuses
collaborations musicales (........)
Retravaille
en tant qu'acteur avec une compagnie Italienne ...
développe
actuellement une pratique de l'improvisation essentielle qu'il nomme
"Musique Directe" basée sur les formes ouvertes et
l'écriture instantanée ...
Il
joue sur un prototype initié par un fabricant Italien qu'il essaie
constamment d'améliorer.